Your browser doesn't support javascript.
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 5 de 5
Filter
1.
Value in Health ; 25(12 Supplement):S293, 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2211001

ABSTRACT

Objectives: Hospitalization At Home (HAH), facility delivering hospital care at home, constitutes an alternative to hospitalization for ICI infusion. This work aims to describe the evolution of ICI administration in HAH between 2019-2020 in the COVID epidemic context, to characterize patients and their care pathways. Method(s): Through national hospital database (PMSI), all patients with at least one ICI infusion per year, 2019 and 2020 (including Covid-19 lock-down), were identified with a 6-year retrospective chain of all ICI infusion stays. Patients' journey was analyzed (days number before and during HAH period, alternation HAH/ day care unit (DCU) infusion), based on descriptive analysis and treatment sequences clustering algorithms (TAK). Result(s): HAH patients significantly increased from 60 in 2019 to 339 in 2020 but remained limited (0,67% of 2020 ICI patients). Infusions have significantly increased during Covid-19 lock-down periods and remain at a higher level during the rest of 2020. Mean age and gender characteristics tend to be similar (62 and 66 years old, 37% and 33% women). Lung cancer (77% and 64%) and melanoma (23% and 27%) remained the most frequent tumors treated, but head and neck cancers (8%) and renal carcinoma (3%) were newly observed in 2020. Most administered ICIs in 2020 remained nivolumab (49%) and pembrolizumab (41%). In 2020, number of days before HAH was still close to a year (340days) and higher than the days number spent in HAH (n=110). In 2019 and 2020, treatment sequence analysis shows lung cancer patients mainly managed in HAH after first HAH infusion as well as for melanoma in 2019. In 2020, it shows different patterns for melanoma with HAH/DCU alternation dominance after first HAH infusion. Conclusion(s): Despite easier HAH access since Covid-19, HAH remains limited. French Society for Cancer Immunotherapy 2020 recommendations should contribute to HAH development. Copyright © 2022

2.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):239, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182957

ABSTRACT

Introduction: En France, l'incidence du cancer du poumon (CP) est de 46 363 nouveaux cas en 2018 dont 85% sont des CP non a petites cellules (CPNPC). La resection pulmonaire (RP), eventuellement associee a une chimiotherapie neoadjuvante ou adjuvante, represente la prise en charge de la majorite des stades precoces. Alors que l'immunotherapie anti-PD1/PDL1 semble apporter des Resultats prometteurs chez ces patients, l'objectif de cette etude est de quantifier et caracteriser ces derniers, leur prise en charge ainsi que l'evolution de la maladie, en vie reelle, en France. Methodes: Il s'agit d'une etude retrospective utilisant les donnees de la base francaise hospitaliere PMSI. La population etudiee comprend les patients adultes avec un diagnostic de CP (code CIM 10 : C34*) et ayant un premier sejour hospitalier pour une RP entre le 01/01/2015 et le 31/12/2020. La description des caracteristiques des patients ainsi que leur prise en charge ont ete effectuees sur les patients operes en 2015 et en 2019 (2020 est consideree comme non representative en raison de la COVID-19). Les analyses de survie sont disponibles pour les patients inclus en 2015 (suivis jusqu'en 2020 ou jusqu'a leur deces ou date de derniere nouvelle). Resultats: Entre 2015 et 2019, le nombre de patients ayant beneficie d'une RP pour CP a augmente, en moyenne de 9,9% par an : 8 688 en 2015 contre 10 330 en 2019. Les caracteristiques des patients etaient similaires entre 2015 et 2019;seul le profil des patients operes en 2015 est presente : 66,4% d'hommes (n = 5767), age moyen : 64,8 ans, maladie pulmonaire chronique preexistante : 38,6% (n = 3350), obesite : 19,8% (n = 1719), diabete : 15,3% (n = 1333) et maladie vasculaire peripherique : 15,2% (n = 1318). La RP est une lobectomie, une pneumonectomie, une resection limitee du poumon et une bilobectomie dans respectivement 79,8%, 8,4%, 7,5% et 4,3% des cas. En 2019, le nombre de lobectomies a augmente a 84,9% tandis le nombre de pneumonectomies a diminue a 5,3%. En 2015, les patients etaient traites en majorite par chirurgie seule (68,7%) et respectivement 24,7% et 6,6% recevaient une chimiotherapie adjuvante ou neoadjuvante;ces proportions etaient similaires en 2019. A partir de la RP, la mediane de survie sans maladie est de 58,0 [IC95% : 56,0-61,0] mois et la survie globale (SG) a 5 ans de 66,8% [IC95% : 65,8-67,9]. Le taux de SG a 2 ans etait de 36,5% [IC95% : 34,6-38,3] apres une recidive a distance (mediane : 13,0 [IC95% : 12,0-14,0] mois) et de 80,1% [IC95% : 76,9-82,9] apres une recidive locale (mediane non atteinte). Conclusion(s): Pres de 25% des nouveaux patients diagnostiques avec un CP beneficie d'une RP, avec une evolution dans le temps du type de geste operatoire. En 2015, le recours a une chimiotherapie neoadjuvante et/ou adjuvante ne concernait qu'environ un tiers des patients, pres de la moitie des patients ont progresse a 5 ans et la survie globale reste faible, en particulier apres une recidive a distance. Copyright © 2022

3.
Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique ; 70:S269, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-2095969

ABSTRACT

Objectif En lien avec la stratégie décennale de lutte contre le cancer 2021-2030 et l'objectif de maintien à domicile des patients, un développement des prises en charge en HAD pour administration d'ICI est attendu en 2020, notamment dans le contexte épidémique COVID. L'objectif de cette étude est de décrire l'utilisation des ICI en HAD au cours de l'année 2020, de caractériser les patients, leurs modalités de prise en charge (durée de prise en charge avant passage en HAD et en HAD, fréquence d'administration, alternance HAD et HDJ après passage en HAD) ainsi que de caractériser les établissements d'HAD impliqués (répartition géographique, statut juridique). Méthode L'étude est une analyse rétrospective réalisée à partir des données du PMSI MCO et HAD 2014-2020. Une extraction des séjours hospitaliers de patients traités par ICI en 2020 a été réalisée avec constitution de deux cohortes : une cohorte de patients ayant eu au moins une administration en 2020 en HAD avec un chainage rétrospectif de l'ensemble des séjours pour administrations d'ICI jusqu'en 2014 et une cohorte de patients ayant reçu toutes leurs administrations d'ICI en 2020 en MCO. Les parcours de soins des patients ont fait l'objet d'une analyse descriptive et d'une analyse par séquences de traitement avec l'algorithme TAK ® : Time sequence Analysis K-clustering. Résultats En 2020, 50 819 patients ont été traités par ICI, toutes indications confondues. 339 patients (0.67%) ont reçu au moins une administration en HAD. Les caractéristiques des patients (âge moyen 66 ans et 33 % de femmes) sont similaires dans les deux cohortes. Les patients de la cohorte HAD sont majoritairement traités pour un cancer du poumon (64 % versus 63 % dans la cohorte MCO) ou pour un mélanome métastatique (15 % versus 10 % dans la cohorte MCO). Ils sont principalement traités par nivolumab (49 % ;37 % dans la cohorte MCO). Dix régions sur 13 ont pris en charge des patients ICI en HAD mais seules cinq régions ont pris en charge plus de 11 patients. Pour ces patients, les séjours HDJ (63 %) avec administration d'ICI restent sur l'année plus importants que les séjours en HAD (36 %) ;1 % des séjours sont des hospitalisations complètes. La durée moyenne entre la première administration en MCO et le passage en HAD est proche d'une année (312 jours : médiane 175 jours). La durée moyenne entre la première et dernière administration en HAD est de 102 jours (médiane 42 jours). Une forte variabilité de ces durées est observée entre patients, entre indications et entre régions. Trois modalités de prises en charge sont observées après la 1ère administration en HAD : des patients pris en charge de façon prolongée exclusivement en HAD, des patients avec une alternance HAD/HDJ et des patients avec un retour en MCO après une prise en charge de quelques mois en HAD. La majorité des prises en charge du cancer du poumon se réalise exclusivement en HAD tandis que celles du mélanome ont lieu davantage en alternance HAD/HDJ. Conclusion Cette étude met en exergue la grande variabilité des modalités de prise en charge en HAD entre patients traités par ICI, entre indications et entre régions de France en 2020. Malgré un accès à l'HAD facilité depuis le covid-19, le développement de l'HAD reste limité. La publication par la FITC fin 2020 des recommandations relatives à l'administration des ICI en HAD devrait contribuer à son développement. Déclaration d'intérêt MP, AFG, FEC, MC et HL sont employés par Bristol-Myers Squibb. BJ, PL, sont employés par Heva qui a bénéficié d'un financement de Bristol-Myers Squibb pour la réalisation de cette étude.

4.
Hepatology ; 74(SUPPL 1):326A, 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1508769

ABSTRACT

Background: The COVID-19 pandemic has presented tremendous hurdles to the continuation of preventative services worldwide, including surveillance for HCC for patients with cirrhosis. The Veterans Health Administration (VA) Hepatic Innovation Team Learning Collaborative (HIT) aims to improve care for Veterans with cirrhosis nationally. This evaluation aimed to assess 1) the approaches that sites used to providing cirrhosis care (implementation strategies) during the pandemic and 2) the implementation strategies associated with improved HCC surveillance rates during the pandemic. Methods: VA hepatology clinicians were surveyed about the use of 73 implementation strategies used to improve cirrhosis care in fiscal year (FY) 2020 and whether strategy use was affected by COVID-19. Descriptive and bivariate statistics defined frequencies and associations with HCC surveillance in the year. Results: Survey responses were received from 72 (55%) VA sites caring for over 42,000 Veterans with cirrhosis. Over the course of the pandemic in FY20, the HCC surveillance rate nationally declined from 51% to a nadir of 39%, with an overall rate of 40% at the end of FY20. Sites reported using a median of 10 (IQR 4-20) of 73 implementation strategies to improve cirrhosis care in FY20. Implementation strategy use shifted during the pandemic such that, relative to pre-COVID, sites engaged in more academic collaborations, local technical assistance, and networking to problem solve and less outreach to patients, clinical performance data, site visits, and external facilitation. Implementation strategy selection was associated with HCC surveillance;sites using more implementation strategies had significantly higher HCC surveillance rates (p=.046). Six of 73 individual implementation strategies were significantly associated with increased HCC surveillance: 1) use clinical reminders or note templates, 2) create new clinical teams, 3) use data experts, 4) tailor care to meet local needs, 5) learn from experts in cirrhosis care, and 6) use interdisciplinary workgroups to provide input into cirrhosis policies and practices. Conclusion: While VA experienced an expected national decline in HCC surveillance during FY20, sites used a variety of shifting strategies to adapt to the changing environment. A subset of implementation strategies, including interdisciplinary team formation and using medical record tools and data, was associated with higher surveillance rates during the pandemic.

5.
Non-conventional in French | WHO COVID | ID: covidwho-726702

ABSTRACT

Introduction Pendant la crise sanitaire liée au SARS-CoV-2, le Centre d’appui pour la Prévention des infections associées aux soins (CPias) a fortement été sollicité par les différents secteurs de l’offre de soins. Un outil informatique commun a été créé en 2019 pour tracer les demandes d’appui du CPias. L’objectif est d’analyser les thèmes abordés, les demandeurs et les réponses émises. Matériels et méthodes La saisie de ces données se fait à partir d’un formulaire en ligne. L’analyse des données est réalisée avec le logiciel statistique SAS®. Après un contrôle de la qualité des données, une analyse descriptive des conseils donnés a été réalisée. Ainsi, les variables recensées sont : la date, la fonction des appelants, le statut et le type de leurs établissements (sanitaire, ESMS, secteur libéral…) et les thèmes des demandes. Une fois la base de données exportée et les demandes étiquetées « COVID-19 » filtrées, une seconde analyse qualitative des sous-thèmes a été faite. Résultats Entre le 1er février et le 31 mai 2020, le CPias a répondu à 886 sollicitations sur le thème du COVID-19 contre 640 sur toute l’année 2019 (tous thèmes confondus), avec un pic visible autour de la semaine 12. Ainsi, 64 % (466) des demandes émanent d’établissements médicosociaux, 26 % (189) d’établissements sanitaires, 7 % (48) de tutelles et 3 % (22) de la médecine ambulatoire. Quarante-trois pour cent (363) de ces demandes sont faites par des professionnels de santé (à parts égales entre professionnels médicaux et paramédicaux), 26 % (217) par des personnels non soignants (dont 80 % (174) de directeurs de structures médicosociales), 21 % (175) par des hygiénistes (praticiens et infirmiers) et 10 % (90) d’autres professionnels. Les thèmes les plus souvent abordés concernent pour 30 % (264) les équipements de protection individuelle (conseils pour leur bonne utilisation, gestion de la pénurie), pour 23 % (206) l’environnement (entretien des locaux, gestion du risque environnemental) et pour 21 % (185) la conduite à tenir face à des patients/résidents suspects, positifs ou revenant d’hospitalisation. Viennent ensuite des questions sur la conduite à tenir pour les professionnels soit 14 % (123) (suspects/contact, ceux travaillant en ville ou à domicile) et 14 % (120) sur la maladie elle-même (contagiosité, symptômes, prélèvement, unité dédiée aux patients COVID ou suspects). Parfois ces questions ont été relayées aux infectiologues selon le niveau d’expertise requis. Enfin, 11 % (98) des demandes sont d’ordre organisationnel autour des flux internes et de l’organisation des consultations. Conclusion Le CPias a été très investi dans ses missions régionales de prévention et contrôle de l’infection pendant cette crise sanitaire. Nous en tirons que de nombreux acteurs en santé avaient besoin d’une adaptation ou d’une interprétation pratique des doctrines nationales et/ou d’être confortés dans les conduites à tenir. L’analyse montre également la diversité des appelants sortants du cadre habituel de nos interlocuteurs témoignant de l’importance de l’épidémie.

SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL